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Dans les grosses boîtes de l’imprimerie genevoise, les militants syndicaux des trois organisations existantes d’alors, veillaient à ce que leur action préserve les droits des membres de chacune selon leur convention collective de travail respective.

Ainsi la sous-Commission ouvrière de la Tribune de Genève adressait à la Direction les positions de l’assemblée générale du personnel ouvrier du 3 décembre 1985:

[->doc522]«L’Assemblée décide de demander à la direction d’accorder au personnel USL réuni par elle, un temps égal à celui qu’elle prendra pour exposer son point de vue et ses propositions de façon à ce qu’il puisse en discuter.»


les lettres d’avertissement ou lettres confirmant un entretien entre un travailleur accompagné de délégués de la sCO et la direction seront retournées par la sCO à leur expéditeur si leur formulation ne correspond pas aux positions des parties ou celles convenues lors de l’entretien